Poèmes de Nilmar
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Poèmes de Nilmar
~ Findelya cala ve laure ~
L'Autre, alterable comme nous,
secret, habite d'entrailles et de souvenirs,
serre notre main dans sa main chaude,
et quelque chose vous unit soudain :
certitude de vivre ensemble
dans le meme mince repli du temps
sur le meme point de notre planete.
Une force a deux. Peut etre une tendresse.
Quelquefois le plaisir
qu'un arbre sente bon,
et qu'une parole commune
puisse le dire.
L'Autre, alterable comme nous,
secret, habite d'entrailles et de souvenirs,
serre notre main dans sa main chaude,
et quelque chose vous unit soudain :
certitude de vivre ensemble
dans le meme mince repli du temps
sur le meme point de notre planete.
Une force a deux. Peut etre une tendresse.
Quelquefois le plaisir
qu'un arbre sente bon,
et qu'une parole commune
puisse le dire.
Re: Poèmes de Nilmar
~ Melodieuse immortalite ~
Si humble soit votre immortalite,
faites-y face et vivez-la ;
ne l'esquivez pas,
et ne l'insultez pas.
Elle n'est pas aussi mauvaise
que vous l'etes.
C'est lorsque vous etes
le plus riche qu'elle vous semble
la plus pauvre.
Celui qui cherche a critiquer
trouvera a critiquer
meme au pantheon elfique.
Aimez votre immortalite,
toute pauvre qu'elle soit.
Peut-etre pourrez-vous vivre
des heures agreables,
passionnantes, radieuses...
meme dans un asile d'indigents.
Le soleil couchant se reflete
avec autant d'eclat aux fenetres
de l'hospice que sur celles
de la demeure du riche ;
quand vient la Saison de l'aube ,
la neige fond aussitot
devant sa porte.
Je ne vois pas pourquoi
un esprit serein ne pourrait
y gouter autant de satisfactions,
y avoir autant de pensees
rejouissantes
que dans le palais de la Tarìedhel.
***
Si humble soit votre immortalite,
faites-y face et vivez-la ;
ne l'esquivez pas,
et ne l'insultez pas.
Elle n'est pas aussi mauvaise
que vous l'etes.
C'est lorsque vous etes
le plus riche qu'elle vous semble
la plus pauvre.
Celui qui cherche a critiquer
trouvera a critiquer
meme au pantheon elfique.
Aimez votre immortalite,
toute pauvre qu'elle soit.
Peut-etre pourrez-vous vivre
des heures agreables,
passionnantes, radieuses...
meme dans un asile d'indigents.
Le soleil couchant se reflete
avec autant d'eclat aux fenetres
de l'hospice que sur celles
de la demeure du riche ;
quand vient la Saison de l'aube ,
la neige fond aussitot
devant sa porte.
Je ne vois pas pourquoi
un esprit serein ne pourrait
y gouter autant de satisfactions,
y avoir autant de pensees
rejouissantes
que dans le palais de la Tarìedhel.
***
Re: Poèmes de Nilmar
~ La paix des Valar ~
Pose ta tete douce et lasse
La nuit tombe ; tu es arrive a la fin du voyage
Dors maintenant et reve de ceux qui vinrent avant
Ils appellent d'une falaise lointaine
Pourquoi pleures-tu ? Que sont ces larmes sur ton visage ?
Bientot tu verras toutes tes souffrances partiront
En securite dans mes bras, tu dors seulement
Que peux-tu voir sur a l'horizon ?
Pourquoi les mouettes blanches appellent-elles ?
A travers la Mer une pale lune s'eleve
Les bateaux doivent te porter a la maison
Et tout se transformera en miroir
Une lumiere sur l'eau, toutes les ames passent
L'espoir s'estompe dans le monde de la nuit
A travers les tenebres qu'on oublie et le temps
Ne dis pas que nous arrivons maintenant a la fin
Les falaises blanches appellent, toi et moi nous retrouverons a nouveau
Et tu seras ici dans mes bras, juste endormi
Que peux-tu voir sur a l'horizon ?
Pourquoi les mouettes blanches appellent-elles ?
A travers la Mer une pale lune s'eleve
Les bateaux doivent te porter a la maison
Et tout se transformera en miroir
Une lumiere sur l'eau, les bateaux gris passent
Vers le pays des Valar
Pose ta tete douce et lasse
La nuit tombe ; tu es arrive a la fin du voyage
Dors maintenant et reve de ceux qui vinrent avant
Ils appellent d'une falaise lointaine
Pourquoi pleures-tu ? Que sont ces larmes sur ton visage ?
Bientot tu verras toutes tes souffrances partiront
En securite dans mes bras, tu dors seulement
Que peux-tu voir sur a l'horizon ?
Pourquoi les mouettes blanches appellent-elles ?
A travers la Mer une pale lune s'eleve
Les bateaux doivent te porter a la maison
Et tout se transformera en miroir
Une lumiere sur l'eau, toutes les ames passent
L'espoir s'estompe dans le monde de la nuit
A travers les tenebres qu'on oublie et le temps
Ne dis pas que nous arrivons maintenant a la fin
Les falaises blanches appellent, toi et moi nous retrouverons a nouveau
Et tu seras ici dans mes bras, juste endormi
Que peux-tu voir sur a l'horizon ?
Pourquoi les mouettes blanches appellent-elles ?
A travers la Mer une pale lune s'eleve
Les bateaux doivent te porter a la maison
Et tout se transformera en miroir
Une lumiere sur l'eau, les bateaux gris passent
Vers le pays des Valar
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